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Walter "Walt" White est professeur de chimie dans un lycée, et vit avec son fils handicapé et sa femme enceinte à Albuquerque, au Nouveau-Mexique. Lorsqu'on lui diagnostique un cancer du poumon en phase terminale avec une espérance de vie estimée à deux ans, tout s'effondre pour lui. Il décide alors de mettre en place un laboratoire et un trafic de méthamphétamine pour assurer un avenir financier confortable à sa famille après sa mort, en s'associant à Jesse Pinkman, un de ses anciens élèves devenu petit trafiquant.

Informations sur

  • Nom original de la série Breaking Bad
  • Créateur Vince Gilligan
  • Dates 2008-2013
  • Genre Drame Mafia
  • Pays de production États Unis
  • Chaîne(s) de diffusion originale AMC
  • Chaîne(s) de diffusion française Arte,  Orange Cinémax
  • Nombre de saison(s) 5
  • Nombre d'épisodes 62
  • Durée 45 minutes
  • Bande originale
Publié dans Antre de la Crypte

Charming est une petite ville de Californie. Derrière son nom agréable et sous ses apparences de ville paisible, se cache une bourgade où les crimes, les vengeances, les trafics et autres exactions vont bon train avec le quotidien. Le club de bikers du coin, les Sons of Anarchy, entendent bien faire la loi et faire régner l'ordre tel qu'ils le conçoivent...

Informations sur

  • Nom original de la série Sons of Anarchy
  • Créateur Kurt Sutter
  • Dates 2008-2014
  • Genre Drame Mafia
  • Pays de production États Unis
  • Chaîne(s) de diffusion originale FX
  • Chaîne(s) de diffusion française M6,  Série Club,  W9
  • Nombre de saison(s) 7
  • Nombre d'épisodes 92
  • Durée 45 minutes
  • Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi

    The Shield, Les Soprano, Mayans M.C., Deadwood, Peaky Blinders, Ozark...

  • Bande originale
Publié dans Antre de la Crypte

Tony Soprano est un gangster influent et puissant dans le New Jersey. Tony est également un homme, et comme chaque être humain il est faillible. Atteint de crises de panique, il est contraint de voir en secret une psy, le docteur Jennifer Melfi. Ainsi, Tony doit jongler entre ses affaires de truands, sa vie de famille pas toujours facile et ses problèmes psychologiques.

Informations sur

  • Nom original de la série The Sopranos
  • Créateur David Chase
  • Dates 1999-2007
  • Genre Drame Mafia
  • Pays de production États Unis
  • Chaîne(s) de diffusion originale HBO
  • Chaîne(s) de diffusion française France 2,  France 4, Jimmy
  • Nombre de saison(s) 6
  • Nombre d'épisodes 86
  • Durée 55 minutes
  • Bande originale

Publié dans Antre de la Crypte

Baltimore est placée sous le joug du trafic de drogues. À travers chaque saison, la série raconte la lutte de pouvoir au coeur de cette ville américaine : politique, éducation, presse, gangs, contrebande, etc.

Informations sur

  • Nom original de la série The Wire
  • Créateur David Simon
  • Dates 2002-2008
  • Genre Policier Drame Mafia
  • Pays de production États Unis
  • Chaîne(s) de diffusion originale HBO
  • Chaîne(s) de diffusion française Jimmy,  OCS,  MyCanal,  France Ô
  • Nombre de saison(s) 5
  • Nombre d'épisodes 60
  • Durée 60 minutes
  • Critique

     

    Pourquoi je n'ai pas apprécié The Wire à sa juste valeur ?

    Il est extrêmement difficile de rédiger la critique d'une série comme The Wire. Pourquoi ? Tout simplement car son aura est telle que pour beaucoup de fans de séries, elle a sa place au rang des séries cultes.

    Il suffit de demander le top 5 des séries préférées à quelqu'un pour voir fréquemment apparaître The Wire, Sur écoute en version française.

    En prenant un peu de recul sur la série et en la situant par rapport à son époque (début des années 2000), effectivement, le show de HBO a tout d'une GRANDE série :

    - un arc narratif qui te tient à la gorge ;
    - des acteurs et actrices de talent ;
    - une écriture scénaristique de qualité ;
    - et un univers bien marqué auquel on adhère rapidement.

    Bref, une bonne série comme on en faisait à l'époque et qui en a clairement inspiré de nombreuses autres depuis, tant sur la forme que sur le fond. Pour la petite histoire, The Wire a joué un rôle important dans le recours au format long d'un épisode (1 heure) sur les chaînes câblées.

    Si j'appuie avec insistance sur la période de production de la série, ce n'est pas pour rien. En effet, The Wire s'ancre parfaitement dans une période faste des séries télévisées où des chaînes comme HBO ont souhaité casser le moule des genres traditionnels, en proposant des séries novatrices, audacieuses et irrévérencieuses. Ce nouvel âge d'or des séries, comme certains l'ont appelé, nous a permis de découvrir des séries comme Oz, Six feet Under, Deadwood, Sex & the City, Rome ou encore The Soprano.

    The Wire a tout à fait sa place au Panthéon des séries cultes de la célèbre chaîne à péage américaine. Pourtant, je refuse de l'y faire figurer. The Wire est une bonne série, mais...

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    Oui il y a un "mais", alors avant de m'insulter, je vais expliquer pourquoi je ne peux placer The Wire au même rang que les séries listées ci-dessus.

    Voici les trois raisons qui ne m'ont pas fait apprécier The Wire à sa juste valeur.

    1. L'effet L'auberge Espagnole

    Tu connais forcément le film de Cédric Klapisch avec Romain Duris.
    Ce long-métrage est généralement perçu comme étant un bon divertissement, voire un très bon film. En tout cas, c'est comme ça qu'il m'a été vendu par mon entourage à sa sortie. Quand je parle de mon "entourage", ce n'est pas au sens de Vince Chase, mais au sens très large : famille, amis, amis d'amis, collègues et même avis trouvés ici et là sur le Net.

    Je ne l'ai pas vu à sa sortie en 2002, mais quelques années plus tard, bien après sa suite sortie en 2005, Les Poupées Russes. Et durant toutes ces années on m'a vendu le film comme un incontournable du cinéma français. C'est donc vers la fin des années 2000 que j'ai pu enfin voir cet "excellent" film, et quelle ne fut pas ma déception.

    Ce n'est pas un mauvais film, il est même plutôt sympa à regarder, mais tout ce tapage pour ça... faut pas déconner ! D'autres films sortis la même année sont bien meilleurs : Star Wars, épisode II : L'Attaque des clones (non je déconne), Se souvenir des belles choses, Irréversible, Le Seigneur des Anneaux : Les Deux Tours, Le Pianiste, 28 jours plus tard pour ne citer qu'eux.

    Je sais bien que tout le monde n'est pas fan du film de Klapisch , mais une bonne majorité a aimé ce long métrage. Alors pourquoi ne l'ai-je pas apprécié ? Ma supériorité intellectuelle...

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    Je ne l'ai pas apprécié tout simplement car on me l'a survendu. Voilà le mot est lâché !

    Comme je l'ai dis plus haut, le film n'est pas mauvais, mais il n'est en rien sensationnel. Une découverte lors de sa sortie en salle m'aurait probablement permis de l'apprécier à sa juste valeur. J'aurais alors participé à toutes les discussions, que ce soit autour d'un verre ou à la machine à café, avec mes contacts de l'époque. Ainsi, j'aurais vu le même film que les autres, au même moment et avec les mêmes références temporelles. On n'aurait pas essayé de me le vendre comme cela a été le cas par la suite avec des :

    "J'adore Romain Duris, il est tellement bon et beau dans l'auberge espagnole... quoi tu n'as pas vu le film, il faut que tu le mattes, c'est génial"

    Ou encore :

    "T'as pas vu l'auberge espagnole ? Mais t'étais où, un incontournable !"

    On m'a tellement bassiné avec ce film que le jour où j'ai daigné le voir, je n'étais pas dans les bonnes conditions pour l'apprécier. Je lui ai même préféré sa suite car personne n'avait essayé de ma la vendre. J'étais vierge et libre de me faire ma propre opinion.

    À présent, tu vois l'idée. Ce principe de découvrir après tout le monde une oeuvre quelconque, que ce soit un film, une série ou un livre peut être préjudiciable pour celle-ci. D'autant plus que certains prennent un malin plaisir à te la survendre quitte à te faire passer pour un pauvre type car tu ne l'as vue ou lue. Un principe exacerbé par les réseaux sociaux de nos jours.

    Ce phénomène, je l'appelle l'effet Auberge Espagnole. Et c'est ce que j'ai ressenti en regardant The Wire. Non, je ne compare pas Sur écoute à L'auberge espagnole, je n'ai pas la boite crânienne remplie de merde, mais le processus de découverte a été identique pour les deux fictions.

    Je ne vais pas te faire l'affront de détailler tout le processus à nouveau, mais en gros on m'a gonflé sur la série pendant de très nombreuses années, à me faire passer pour un non sériephile qui n'a pas le droit de s'exprimer car il ne connait pas The Wire. Des dires qui me passaient bien au-dessus, mais cela témoigne d'une certaine mentalité sur les réseaux. Pour ma part, mon oeuvre culte est Six feet Under, je ne vais pas pour autant ne plus m'adresser aux personnes qui n'ont pas vu l'oeuvre d'Alan Ball, quoique... Alors bande de sous-merdes, vous allez regarder Six feet Under oui ou non !

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    À présent, tu comprends comment a pu être mon rapport à The Wire. Malgré toutes ses qualités indéniables, j'ai simplement apprécié la série, mais sans plus.

    2. Un hiatus trop long à la fin de la saison 1

    Cette deuxième raison ne remet pas en cause la qualité de la série. C'est la consommation de celle-ci qui lui a joué un mauvais tour.

    Avant de débuter le visionnage de The Wire, beaucoup de fans de la série m'ont alerté sur la longueur de la mise en place de la saison 1. En d'autres termes, une première saison qui n'aide pas à rentrer pleinement dans la série. Pourtant, cela a été l'inverse. J'ai complètement adhéré à ce premier volet qui m'a bien fait comprendre, malgré la multitude de personnages et d'intrigues, les enjeux sociétaux, ethniques et relationnels qui se jouent dans la ville de Baltimore. Une mise en place parfaite qui devrait être un cas d'école pour de nombreuses séries.

    Ok, donc jusque-là tout va bien.

    Malheureusement, j'ai commis l'erreur de faire une pause dans mon visionnage. Une pause qui s'est avérée bien trop longue, quelques mois... non, presque deux ans. Me replonger dans la série a été difficile d'autant plus que la saison 2 est la moins intéressante de toutes. L'intrigue au coeur des dockers du port de Baltimore ne m'a pas accroché. Certes l'idée d'intégrer de nouveaux personnages est tout à fait louable, mais je ne suis pas rentré dedans. J'ai toutefois poursuivi mon visionnage pour retrouver par la suite un scénario qui me parlait plus.

    3. Des acteurs vus dans d'autres séries

    La série a presque 20 ans et une grande partie de son casting a depuis officié dans d'autres projets.

    Pour beaucoup, la découverte de The Wire était également synonyme de découverte de nouveaux talents. Une chance que je n'ai pas eu pour avoir découvert la série trop tard. De nombreux acteurs de la série ne m'étaient pas inconnus et même je les identifiais trop à d'autres rôles qu'ils ont pu tenir dans des séries plus récentes. Je te renvoie vers l'article Ces 9 acteurs ont joué dans The Wire, tu les remets ?

    Là encore, The Wire n'est en rien fautive. Ce que j'exprime depuis le début est mon seul ressenti face à ma découverte de cette série culte de HBO.

    Soyons honnêtes, cela ne balaye pas du revers de la main la qualité du jeu d'acteur de certains comédiens. Je pense évidemment à Michael K. Williams qui interprète remarquablement le rôle d'Omar. Un personnage avec une réelle profondeur et une véritable complexité entre sa soif de vengeance et sa douceur envers ses amants. Un rôle sublimé par la mise en scène et les traits que lui a conférés David Simon dans son écriture.

    Je suis d'accord avec les fans, avec Omar, The Wire nous a offert l'un des plus intéressants et des plus beaux personnages du monde des séries télévisées. Oui je le confesse, la série a des qualités indéniables.

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    Malgré ce dernier argument, je n'arrive pas à me dire que The Wire peut intégrer mon top 5, voire mon top 10 des séries cultes. Je l'ai découverte trop tard et surtout j'ai été pollué par des personnes qui ont voulu me "vendre" leur série coup de coeur.

    La morale de cette histoire est simple, arrête de survendre la série que tu adores car tu risques de créer une attente trop ambitieuse pour la personne qui la découvrira par la suite. Ce point est également valable pour moi. Je vais donc arrêter de parler de Six feet Under à outrance. Mais entre nous, regarde-la car cette série est la meilleure...

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  • Bande originale

Publié dans Antre de la Crypte

À sa sortie de prison, le jeune Ezekiel Reyes, dit EZ, rejoint le gang de motards, Mayans Motorcycle Club, aux côtés de son grand frère Angel. Sa soif de vengeance envers les cartels, les gangs et même l'autorité, le fait sombrer petit à petit dans un déferlement de violence, de manipulation et de haine.

Informations sur

  • Nom original de la série Mayans M.C.
  • Créateur Kurt Sutter Elgin James
  • Dates 2018-2023
  • Genre Drame Action
  • Pays de production États Unis
  • Chaîne(s) de diffusion originale FX
  • Chaîne(s) de diffusion française Disney +
  • Nombre de saison(s) 5
  • Nombre d'épisodes 50
  • Durée 50 minutes
  • Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi

    Sons of Anarchy, The Shield, Banshee, The Black Donnellys...

  • La critique chrono


    Mayans M.C. démarre timidement pour finir sur une note correcte !

    - Quiconque a aimé Sons of Anarchy sera ravi de renouer avec cet univers de bikers dépeint par Mayans M.C. On y retrouve l'ambiance, une BO toujours parfaite et son lot de cliffanghers.

    Des personnages charismatiques à l'instar de Bishop, Felipe, Tranq, Alavrez ou Adelita. La palme revenant à Angel qui a su me toucher tout au long de la série et ce jusqu'à la dernière seconde de celle-ci.

    "EZ rider" est une pâle copie de Jax dans les SOA, sans pour autant lui arriver à la cheville. J'avais difficilement de l'empathie pour son personnage et ses choix parfois peu réfléchis.

    Le personnage d'Emily, incarnée par Sarah Bolger, ne m'a pas convaincu. Son envol arrive bien trop tard dans la série et l'actrice n'est pas du tout convaincante dans son interprétation.

    La série pêche dès qu'elle aborde l'histoire des cartels. Cet arc n'est pas passionnant et malheureusement bien trop présent, et ce au détriment de la vie du club des Mayans.

  • Bande originale

  • Répliques cultes

     

    Felipe Reyes : "I don’t underestimate any man’s capacity for despicable acts"

Publié dans Antre de la Crypte
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