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"Je m'appelle Thomas Veil. Ou du moins c'est ce que je croyais. Je suis photographe. J'avais tout. Une femme, Alyson, des amis, un métier passionnant. Et en l'espace d'un instant, on m'a tout pris. Tout ça à cause d'une photo. J'ai le négatif. Ils sont prêts à tout pour l'obtenir. Je tiens ce journal pour prouver que ces évènements sont réels. Je sais qu'ils le sont, ce n'est pas possible autrement."
Informations sur
- Nom original de la série Nowhere Man
- Créateur Lawrence Hertzog
- Dates 1994-1995
- Genre Aventure
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale UPN
- Chaîne(s) de diffusion française Canal+, Canal jimmy
- Nombre de saison(s) 1
- Nombre d'épisodes 25
- Durée 42 minutes
-
La critique chrono
Dommage. Ce mot résume à lui seul le sentiment que l’on ressent à la vision de cette série morte née.
Au travers de ces vingt-cinq épisodes, on découvre un univers paranoïaque, surréaliste, où la technologie de pointe flirte avec la folie humaine. Tout n’y est que faux semblants, et chaque épisode met le spectateur à rude épreuve. Les scénarii redoublent d’inventivité, et les scénaristes étaient visiblement fort inspirés par leur sujet.
On pourra donc regretter une interruption si précoce, tant on aurait voulu en apprendre plus sur la mystérieuse organisation et sur Gemini.
Par l'intermédiaire de Jason et ses acolytes, "Atlantis" suit les légendes de la célèbre et mystérieuse cité Atlantide. Colosses, dieux et déesses, démons... Jason, fraichement arrivé dans la ville, voit un nouveau monde s'ouvrir à lui...
Informations sur
- Nom original de la série Atlantis
- Créateur Johnny Capps Julian Murphy Howard Overman
- Dates 2013-2015
- Genre Fantastique Aventure
- Pays de production Royaume Uni
- Chaîne(s) de diffusion originale BBC One
- Chaîne(s) de diffusion française Canal +
- Nombre de saison(s) 2
- Nombre d'épisodes 26
- Durée 45 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
Camelot, Merlin, Hercules, Xena la guerrière...
"Les exploits d'un chevalier solitaire dans un monde dangereux. Le chevalier et sa monture ! Un héros des temps modernes, dernier recours des innocents, des sans-espoir, victimes d'un monde cruel et impitoyable".
Informations sur
- Nom original de la série Knight Rider
- Créateur Glen A. Larson
- Dates 1982-1986
- Genre Aventure Science Fiction
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale NBC
- Chaîne(s) de diffusion française TF1, La Cinq, M6, NT1, RTL9, 13ème rue
- Nombre de saison(s) 4
- Nombre d'épisodes 90
- Durée 42 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
Tonnerre mécanique, Supercopter, Knight Rider (2008), L'homme qui valait trois milliards, L'agence tous risques...
- Bande originale
Dans le Comté de Hazzard dans l’État de Géorgie, les deux cousins Luke et Bo, au volant de leur General Lee, rétablissent l'ordre et la justice. Ils sont aidés par leur cousine Daisy et leur oncle Jesse. Et ils ne manquent de tourner en ridicule dès qu'ils peuvent le pauvre Shérif Rosco...
Informations sur
- Nom original de la série The Dukes of Hazzard
- Créateur Gy Waldron
- Dates 1979-1985
- Genre Comédie Aventure Action
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale CBS
- Chaîne(s) de diffusion française Antenne 2, NRJ 12, Virgin 17
- Nombre de saison(s) 7
- Nombre d'épisodes 147
- Durée 42 minutes
-
Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
K2000, L'homme qui tombe à pic, Magnum, Starsky & Hutch.
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Critique
Fun, mini-short & bolide
- Shérif, fais-moi peur est un gros délire qu'il convient de consommer tel quel. Ne surtout pas prendre la série au sérieux, le côté beauf est à portée de mains.
- Impossible de ne pas s'arrêter sur la plastique du casting entre Tom Wopat, John Schneider et Catherine Bach. De quoi faire fantasmer les ados de l'époque.
- L'inoubliable bolide de nos 2 héros : General Lee. Une Dodge Charger qui a fait rêver plus d'un gamin.
- La série est bourrée de stéréotypes : les sales gamins qui se la jouent Robin des bois des temps modernes, la pin-up, le shérif débile, les méchants sans cervelle.
- Certes fun, mais tout de même un peu beauf. Shérif, fais-moi peur se voulait familiale, mais on a tous en tête le papa sudiste, la bière à la main et l'autre dans le slibard matant les gambettes de cousine Daisy !
- Bande originale
Après s’être battu dans les croisades auprès de son roi, Robin, Comte Huntingdon, rentre enfin au pays. Mais l’Angleterre n’est plus comme il l’avait laissée quelques années plus tôt. Il découvre que le Shérif de Nottingham a pris le pouvoir. Accompagné de son fidèle serviteur et guerrier, Guy de Gisbourne, le Shérif fait régner la terreur sur la population locale. Robin ne peut se résigner à abandonner son ancienne vie et ses familles dans le besoin. Avec ses compagnons de route, Much, Allan, Will et Petit Jean, il va tout faire pour contrecarrer les plans machiavéliques du Shérif et rétablir l’ordre à Nottingham.
Informations sur
- Nom original de la série Robin hood
- Créateur Dominic Minghella Foz Allan
- Dates 2006-2009
- Genre Drame Aventure
- Pays de production Royaume Uni
- Chaîne(s) de diffusion originale BBC One
- Chaîne(s) de diffusion française France 4, Canal +, 6ter
- Nombre de saison(s) 3
- Nombre d'épisodes 39
- Durée 45 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
The Last Kingdom, Merlin, Hercules, Xena la guerrière...
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Critique
Pour te parler de la série Robin des bois, j’ai décidé de te faire part de mon ressenti et des changements que la série a pu opérer sur mon jugement envers elle durant ses trois saisons.
Quatre, c’est le nombre de phases que j’ai pu recenser tout au long du visionnage :
Phase 1 : le doute.
Je me suis lancé dans le visionnage de cette série par simple curiosité. Ayant entendu parler de la série ici et là sur la Toile, et pas nécessairement via des retours très positifs, je me suis dit que le mieux était de juger par soi-même et donc de découvrir cette série.
Les premiers épisodes ont été assez laborieux à regarder. Ce n’était pas foncièrement mauvais, mais ce n’était pas non plus très accrocheur. On avait l’impression d’être devant une mauvaise production et les intrigues frôlaient bien souvent le ridicule, tout comme les personnages et notamment les gardes du Shérif. Mais souvenons-nous de notre enfance et des œuvres télévisuelles de l’époque. Dans Zorro par exemple, le Sergent Garcia et ses gardes n’étaient pas des plus malins dans leur genre. Et pourtant, cela nous faisait bien rire et nous passions un agréable moment devant notre écran.
Pour en revenir à nos moutons, tu l’auras compris, les premiers moments passés avec Robin et sa bande ne m’ont pas véritablement passionné et je doutais vraiment sur ma capacité à poursuivre le visionnage de la série. J’ai toutefois poursuivi l’aventure Robin des bois dans l’optique d’alimenter le site.
Phase 2 : l’acceptation.
Et ma foi, j’ai bien fait !
En effet, cette première saison, sans être d’une qualité exceptionnelle s’est avérée agréable à suivre. J’ai accepté le postulat de départ, à savoir Robin des bois n’est pas une grande série mais elle rempli parfaitement son rôle dans le genre série d’aventure. On retrouve les mêmes ficelles que notre bon vieux Zorro et finalement sans vouloir juger à mal et décortiquer toutes les scènes pour les critiquer, on se retrouve face à un produit intéressant, drôle et sympathique. Mais cela est-il suffisant pour pousser un téléspectateur à regarder la suite de la série et se plonger dans les saisons suivantes ?
Phase 3 : l’appréciation...
Il faut dire que le season finale de la saison 1 est accrocheur et il est difficile de ne pas avoir de sympathie pour Robin, Much et le reste de la bande. La fin de saison m’a alors poussé à poursuivre l’aventure. Et ce n’est sans aucun regret.
La saison 2 de Robin des bois a été du début à la fin de grande qualité. L’intrigue principale est haletante et m’a embarqué dans le visionnage de la saison en quelques jours. Il était difficile de ne pas appuyer sur le bouton de ma télécommande pour enclencher le visionnage de l’épisode suivant. Les nombreux cliffanghers et les mésaventures de notre brigand préféré sont prenantes et m’ont poussé à apprécier pleinement la série. On est loin de l’univers décrit lors de la saison 1. Bien entendu les gardes du Shérif restent fidèles à eux-mêmes, des pantins servant de faire-valoir à Robin et sa troupe, mais les scenarii sont plus recherchés et travaillés.
La série prend un véritable tournant et le drame prend alors le pas aux genres action et aventure. Ces derniers servent de simple base à la dramaturgie qui se déroule devant nos yeux. Et c’est alors que...
Phase 4 : ...l’addiction
La simple appréciation, bien que grandissante, a laissé place rapidement à l’addiction totale au produit Robin des bois version BBC. Je me suis retrouvé embarqué dans cet univers et il m’était difficile d’en réchapper. J’avais une seule envie : connaître quel serait l’issue de la saison 2 et comment se poursuivrait la série ? Je n’ai été en rien déçu.
Les scénaristes ont gardé jusqu’à la fin de la série le schéma qu’ils avaient enclenché dès la fin de la saison 1 et surtout tout au long de la saison 2. Il faut dire que c’est grandement appréciable de se retrouver face à un produit qui évolue et qui s’améliore avec le temps. Certes on partait de bien bas, mais le principal n’est-il pas d’apprécier les progrès qui ont été réalisés ? Et là, de nombreuses séries feraient bien de s’inspirer du travail fait sur cette série britannique. Car il faudrait bien plus que toutes les mains des fans du remake de Beverly Hills (ils ont osé !) pour les comptabiliser ces séries.
Bref, Robin des bois a su allier parfaitement tout au long de ses épisodes humour, drame et action. Elle a su se perfectionner avec le temps et offrir aux téléspectateurs une intrigue à la fois sympathique à suivre et savamment orchestrée pour nous faire languir à chaque épisode devant notre écran.
Un simple conseil si tu tentes l’expérience avec notre ami Robin : ne t'arrêtes pas à quelques épisodes, regardes la première saison dans son intégralité et lances-toi dans la saison 2, tu seras forcément conquis !
Quinn Mallory, jeune étudiant et génie en physique, passe le plus clair de son temps dans son sous-sol où il invente un appareil permettant de glisser dans les dimensions parallèles. Fier de sa découverte, il convie à une démonstration sa meilleure amie Wade et son Professeur Maximilien Arturo. Le test ne se passe pas comme prévu, amenant Quinn et ses amis, ainsi que le chanteur Rembrant Brown qui passait dans le coin par hasard, à voyager d’univers en univers avec comme seul espoir de rentrer chez eux...
Informations sur
- Nom original de la série Sliders
- Créateur Tracy Tormé Robert K. Weiss
- Dates 1995-2000
- Genre Aventure Science fiction
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale Fox, Sci Fi Channel
- Chaîne(s) de diffusion française M6, Sci Fi, 13e rue
- Nombre de saison(s) 5
- Nombre d'épisodes 88
- Durée 42 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
Code Quantum, Stargate SG-1, Farscape, Doctor Who, Journeyman...
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Critique
Sliders est une série qui a bercé les samedis après-midi de mon adolescence lorsque le temps était gris et que l’appel de la télévision se faisait plus oppressant que celui du ramassage de feuilles dans le jardin. Dernièrement, avant de me lancer à nouveau dans la série j’en avais de très bons souvenirs et malheureusement cette illusion s’est éteinte lorsque j’ai visionné le générique du dernier épisode. Je vais t'expliquer pourquoi...
Si on prend la série dans son ensemble mon avis est assez mitigé car il y a de bonnes choses voire de très bonnes choses, mais d’autres moins intéressantes voire complètement dépourvues d’intérêt.
Du positif...
Pour les points qualitatifs de la série, je commencerais naturellement par le point de départ du show et donc cette histoire totalement géniale. En effet, faire voyager des personnages de dimension en dimension dans le but de retrouver leur Terre promise est une bonne idée. Avec un scénario comme celui-ci, il est facile de se renouveler, d’aborder tout un tas de sujets et surtout de mettre en place une réelle réflexion sur notre société.
Dans ce sens, la série est plutôt convaincante. Les uchronies qui parsèment les saisons sont pour la plupart bien trouvées et font de Sliders une très bonne série de science-fiction.
Sur ce point là, quelques épisodes marquants :- - Un monde au féminin (saison 1 épisode 8), où le sexe faible n’est plus celui des femmes.
- - Un monde parfait (saison 1 épisode 10) où une loterie régit l’accroissement de la population mondiale.
- - Le monde des dinosaures (saison 2 épisode 7) où les glisseurs atterrissent dans un monde où les dinosaures sont encore en vie.
- - Un monde de répression (saison 4 épisode 11) où les glisseurs découvrent un monde où le nazisme a su trouver sa place.
... vers le négatif
A côté de ces stand alone episodes s’est mis en place un arc au sujet d’extra-terrestres venus coloniser toutes les dimensions, les Kromaggs. Cet arc aurait pu s’avérer très intéressant mais à partir de la saison 4 tout tourne autour de ces êtres qui n’étaient que peu présents tout au long des trois premières saisons. Au final, les épisodes deviennent un peu tous similaires et l’ennui prend place.
Et ce n’est pas l’arrivée de nouveaux membres au casting qui y change grand-chose. Certes Kari Wührer (Maggie Beckett) est une femme ravissante qu’il est très agréable de voir courir dans un short qui ferait pâlir de jalousie Lara Croft, mais ça ne fait pas tout. Les départs des trois acteurs principaux au cours des saisons 3 et 4, à savoir Jerry O'Connell (Quinn Mallory), Sabrina Lloyd (Wade Welles) et John Rhys-Davies (Professeur Arturo) ont été très dommageables pour la série. Ajoutons également que la direction du show a connu quelques désagréments étant donné que le créateur de la série Tracy Tormé a préféré quitter la production n’acceptant pas les orientations exigées par la Fox.
La série est annulée en 1997 et revient l’année suivante mais cette fois-ci sur la chaîne Sci-Fi. Des changements qui auront à mon goût achevé la qualité intrinsèque de Sliders.
Il y a tout de même quelques épisodes intéressants dans les saisons 4 et 5 mais rien de transcendant. Et le jeu d’acteur quasi-inexistant de Charlie O'Connell (Colin Mallory) et de Robert Floyd (Mallory) n’arrange rien aux choses. Le charisme de ce dernier se rapproche très certainement d’une huître à qui l’on vient de verser un giclée de citron dessus, et au final nous donne plus l’envie de lui mettre des claques que d’écouter ses sempiternelles blagues salaces qui ne font rire que lui. Difficile de prendre la relève de Jerry O’Connell qui, durant quatre saisons, avait bien en main l’équipe de glisseurs.
Et dans toute cette histoire, seul Cleavant Derricks (Rembrandt Brown) est resté à la barre du navire et a su instaurer un lien entre la série et les fans. Ces derniers n’auront décidément pas eu de chance avec Sliders car la série s’est arrêtée au bout de 5 saisons alors qu’une sixième aurait normalement dû voir le jour. Ceci laisse les fans dans l’expectative de savoir ce qu’il est advenu de Rembrandt. Il suffit à présent de faire fonctionner son imagination et d’espérer le meilleur pour notre ami le Charmeur.
Sliders a donc connu un grand nombre de tourments mais elle reste néanmoins, aux yeux des fans, une grande série de science-fiction. Pour ma part, elle est loin d’arriver à la cheville de chef-d’œuvres tels que Farscape ou Battlestar Galactica, mais elle mérite d’être connue et d’être vue pour les deux premières saisons ou au minimum pour quelques épisodes de qualités parsemées dans l’ensemble des saisons.
Je terminerais en rendant un petit hommage au comédien Ken Steadman qui a perdu la vie tragiquement lors du tournage de l’épisode Un monde d'eau pure (saison 3 épisode 6).
Pour aller plus loin, je te propose de découvrir l'excellente vidéo de MrMeeea sur Sliders. Vidéo nommée à juste titre : "Comment foirer une bonne série en dix leçons". Et si tu aimes cette chronique, n'hésite pas à regarder les autres vidéos de sa chaîne. En tant que fan des films des années 80-90 et de jeux vidéos comme Monkey Island, cette chaîne Youtube est devenue une de mes références. Voici sa chronique sur Sliders :
A lire dans la catégorie des séries qui feraient mieux de rester dans nos souvenirs : Manimal.
Sonny Crockett et Ricardo Tubbs sont deux inspecteurs de la ville de Miami. Travaillant le plus souvent sous couverture, ils déjouent les crimes liés au grand banditisme.
Informations sur
- Nom original de la série Nash Bridges
- Créateur Anthony Yerkovich
- Dates 1984-1989
- Genre Policier Aventure
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale NBC
- Chaîne(s) de diffusion française Antenne 2, La cinq
- Nombre de saison(s) 5
- Nombre d'épisodes 111
- Durée 42 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
Nash Bridges, Fastlane, Starsky & Hutch, Hawaii Five-0, Chips...
- Bande originale
Sous le soleil suit le destin, la vie, les aventures, les histoires d'amour de Laure, Caroline et Jessica trois copines, sous le soleil de la côte d’Azur.
Informations sur
- Nom original de la série Sous le soleil
- Créateur Olivier Brémond Pascal Breton
- Dates 1996-2008
- Genre Drame Aventure
- Pays de production France
- Chaîne(s) de diffusion originale TF1, TF6, D8, June, TMC, Virgin 17
- Chaîne(s) de diffusion française TF1, TF6, D8, June, TMC, Virgin 17
- Nombre de saison(s) 14
- Nombre d'épisodes 480
- Durée 52 minutes
Angus MacGyver est un jeune agent secret employé par la Fondation Phoenix. Génie pacifiste, MacGyver est doué d'une grande intelligence et d'un savoir-faire indéniable en bricolage.
Informations sur
- Nom original de la série MacGyver
- Créateur Lee David Zlotoff
- Dates 1985-1992
- Genre Action Aventure
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale ABC
- Chaîne(s) de diffusion française La Cinq
- Nombre de saison(s) 7
- Nombre d'épisodes 141
- Durée 47 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
MacGyver (2016), Magnum, K2000, Burn notice...
Don Diego de la Vega est un jeune noble bien décidé à lutter contre les abus et la corruption. Sous le masque de Zorro, il fait régner la loi, l'ordre et la justice pour défendre la veuve et l'orphelin.
Informations sur
- Nom original de la série Zorro
- Créateur Johnston McCulley
- Dates 1957-1961
- Genre Aventure Western
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale ABC
- Chaîne(s) de diffusion française FR3, TF1, France 3, M6
- Nombre de saison(s) 2
- Nombre d'épisodes 78
- Durée 20 minutes