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Une mystérieuse épidémie décime toute la population masculine de la Terre. Yorick Brown, un jeune magicien, semble être le dernier survivant. Accompagné de son singe Esperluette et sous la protection de la secrète Agent 355, il arpente les terres désolées des États-Unis pour découvrir ce qui a pu causer ce fléau.
Informations sur
- Nom original de la série Y: The Last Man
- Créateur Eliza Clark
- Dates 2021-2021
- Genre Science fiction Aventure Post Apocalyptique
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale FX
- Chaîne(s) de diffusion française Disney+
- Nombre de saison(s) 1
- Nombre d'épisodes 7
- Durée 60 minutes
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La critique chrono
Y: The Last Man est tirée d'un comics qui apparemment vaut le détour. Ne l'ayant pas lu, mon avis se cantonne uniquement à la série diffusée en France sur Disney+.
- Le pitch de départ est intrigant comme la plupart du temps pour ce genre de séries. Le premier épisode est d'ailleurs très bon. On suit avec intérêt chaque personnage en attendant avec fébrilement le moment qui chamboulera le quotidien de chacun. De ce point de vue là, cet épisode tient la route.
- La suite de la série est bien moins réussie. Elle commet la même erreur qu'une série comme The Walking Dead : il ne se passe rien. Y: The Last Man est très lente, trop lente. Le tout manque clairement de dynamisme.
- Dans la lignée du point précédent, la série tombe dans l'écueil de nous servir des dialogues à rallonge sans grand intérêt. Il y avait pourtant de quoi dire sur ces milices féministes, sur ce monde post apocalyptique, sur le transsexualisme etc. La série perd trop de temps sur des histoires insipides et ne développe pas assez à mon goût ces questions.
- Côté casting, c'était un réel plaisir de retrouver Amber Tamblyn, aka Joan dans Le Monde Joan.
Y: The Last Man est une série gâchée. Elle avait beaucoup de choses à dire et n'a pas osé s'engouffrer dans la brèche dès le début. Stop aux séries au ventre mou où seuls les premiers épisodes et seasons finales frappent un grand coup.
- Bande originale
Une pandémie de grippe décime l'humanité laissant derrière elle quelques survivants. Jeevan, un jeune homme, et Kirsten, une enfant, en font partie. 20 ans plus tard, Kirsten a rejoint une compagnie de théâtre nomade parcourant les villes pour donner des représentations des œuvres de Shakespeare, tout en offrant une lueur d'espoir à chacun.
Informations sur
- Nom original de la série Station Eleven
- Créateur Patrick Somerville
- Dates 2021-2022
- Genre Science fiction Post apocalyptique
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale HBO max
- Chaîne(s) de diffusion française OCS
- Nombre de saison(s) 1
- Nombre d'épisodes 10
- Durée 60 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
The Rain, Silo, Fallout, Sweet Tooth, 12 Monkeys, Y: The Last Man, Survivors...
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La critique chrono
Station Eleven est une série adaptée du roman d'Emily St. John Mandel sorti en 2014.
- Un casting remarquable mené par un duo ultra touchant, Mackenzie Davis et Himesh Patel .
- Station Eleven est une série post-apocalyptique singulière. Malgré l'implacable brutalité d'une "fin du monde", elle ne s'engouffre pas dans un besoin vicieux de montrer les pires atrocités commises par les humains. Ici, la survie est un prétexte pour raconter de belles histoires.
- Station Eleven est avant tout une série sur les rencontres, sur l'amitié, bref sur les relations humaines dans tout ce qu'elles peuvent avoir de plus pur.
- Station Eleven fait partie de ces oeuvres marquantes. Elle reste en tête, te fait te poser des questions et continue de t'interpeller après son visionnage.
- La série va un peu vite sur certains éléments, notamment le passage où Jeevan est récupéré par un groupe de femmes enceintes. S'agissant d'une mini-série, on peut s'en contenter. Une seule envie à présent, lire le livre.
- Bande originale
C'est l'histoire de Gus, un jeune hybride mi-homme mi-cerf ou mi-marin-pêcheur ou mi-jeune-cadre-dynamique-en-doudoune-sans-manche qui, après s’être retrouvé seul, entreprend un voyage à travers un monde désolé, marqué par les stigmates de l’effondrement de la société. Avec l'aide de compagnons improbables, Gus cherche des réponses sur ses origines et sur l'épidémie qui a décimé l'humanité.
Informations sur
- Nom original de la série Sweet Tooth
- Créateur Jeff Lemire
- Dates 2021-2024
- Genre FantastiquePost apocalyptique
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale Netflix
- Chaîne(s) de diffusion française Netflix
- Nombre de saison(s) 3
- Nombre d'épisodes 24
- Durée 45 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
Fallout, Station Eleven, Survivors, The Last Man On Earth, etc.
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La critique chrono
Sweet Tooth est un post-apo avec des personnages attachants et un message fort. Malgré une baisse de régime et un manque de subtilité dans ses prises de parole, la série arrive tout de même à séduire.La principale force de Sweet Tooth réside dans ses personnages. Leur développement nous est conté tout au long de la série que ce soit sous la forme de flashbacks ou de dialogues. Le tout est bien amené, sans jamais être chiant, et rend le parcours de chacun assez captivant. Gus, avec son innocence et sa détermination, est touchant. Il est parfois à la limite du personnage qui pourrait devenir insupportable, mais son capital sympathie reprend toujours le dessus.
La série aborde des thématiques écologiques et sociales, posant des questions pertinentes sur l'impact de l'homme sur la nature. Elle incite à la réflexion sur notre rôle et notre responsabilité sur notre belle planète bleue. Des questions qui devraient interpeller toute personne normalement constituée, sauf si on est un gros con (au fémininin ça fonctionne aussi) sans aucune morale. Ce que tu n’es pas, j’en suis sûr !
Les relations humaines sont au centre de l’histoire de Sweet Tooth. On se prend rapidement d’affection pour le duo Gus / Big Man. La série saupoudre son récit de valeurs essentielles que sont l’humanisme, la compassion et l’empathie, valeurs encore plus fondamentales dans un monde dévasté. Les relations qui se créent au fil de l’histoire et les moments de solidarité apportent une profondeur touchante et sincère à la série.
Malgré ses bonnes intentions, la série peut parfois être un peu trop simpliste dans son message écologique. Les thèmes sont parfois traités de manière trop évidente, manquant de la finesse que l'on pourrait espérer pour une telle réflexion. Mais il est difficile de lui en vouloir tant l’humanité a besoin d’ouvrir les yeux sur ce qui lui pend au nez si nous poursuivons d’agir de la sorte. Oui, il faut prendre soin de la nature, merci Gus de le rappeler et d’incarner ce message !
La deuxième saison peine à maintenir l'intensité et l'originalité des débuts. Certaines intrigues semblent s'étirer inutilement, et l'impact émotionnel des premiers épisodes se fait moins sentir, rendant cette saison moins percutante. Même les personnages deviennent ennuyeux, que ce soit Gus avec sa nouvelle bande de copains ou encore le Général Abbot qui est une caricature de tous les méchants vus et revus dans ce genre de fiction.
- Bande originale