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Alors que la troisième guerre mondiale se profile, trois hommes de l'État-major américain font leur possible pour éviter un nouveau chaos.
Informations sur
- Nom original de la série The Brink
- Créateur Roberto Benabib Kim Benabib
- Dates 2015-2015
- Genre Comédie
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale HBO
- Chaîne(s) de diffusion française OCS
- Nombre de saison(s) 1
- Nombre d'épisodes 10
- Durée 25 minutes
Wisteria Lane est un quartier chic et tranquille jusqu'au jour où un drame frappe de plein fouet ses habitants. Mary Alice Young se suicide laissant Susan, Bree, Lynette et Gabrielle dans l'incompréhension la plus totale. La vie reprend petit à petit son cours, mais de nombreux et terribles secrets rôdent dans ce petit coin de paradis. D'outre-tombe, Mary Alice nous conte le quotidien de ses 4 amies et de son quartier...
Informations sur
- Nom original de la série Desperate Housewives
- Créateur Marc Cherry
- Dates 2004-2012
- Genre Drame Mystère
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale ABC
- Chaîne(s) de diffusion française M6, 6ter
- Nombre de saison(s) 8
- Nombre d'épisodes 180
- Durée 42 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
Devious Maids, Why Women Kill, Mistresses, Sex and the City, Pretty Little Liars...
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Le savais-tu ?
Les maisons de Wisteria Lane n'ont pas uniquement été utilisées dans Desperate Housewives.En effet, tu auras pu croiser les façades de ces bâtisses dans d'autres séries cultes comme Malcolm, Code Lisa, Dragnet, Sliders...
Et Wisteria Lane n'est autre que Colonial Street, rue située dans les studios Universal aux states. Dis-toi bien qu'elle a servi de décor à de nombreux films et de nombreuses séries.
- Bande originale
Informations sur
- Nom original de la série Wicked City
- Créateur Steven Baigelman
- Dates 2015-2015
- Genre Policier
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale ABC
- Chaîne(s) de diffusion française /
- Nombre de saison(s) 1
- Nombre d'épisodes 3
- Durée 42 minutes
Au 14ème siècle, la vie de Wilkin Brattle est bouleversée lorsqu'il est contraint de se faire passer pour un autre, un bourreau. Il profite de cette situation pour découvrir qui a tué ses amis et sa femme. Avide de vengeance il embrasse sa nouvelle vie en espérant bien en découdre avec ses ennemis.
Informations sur
- Nom original de la série The Bastard Executioner
- Créateur Kurt Sutter
- Dates 2015-2015
- Genre Drame Historique
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale FX
- Chaîne(s) de diffusion française /
- Nombre de saison(s) 1
- Nombre d'épisodes 10
- Durée 45 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
Marco Polo, The Last Kingdom, Knightfall, Spartacus...
Lucy Ricardo est une jeune femme exubérante dont le rêve le plus cher est de devenir une artiste accomplie. Son mari, Ricky, ne l'entend pas de cette oreille. Aidée de son amie proche, elle va néanmoins faire tout son possible pour réaliser son rêve, ce qui la mettra dans des situations plus rocambolesques les unes que les autres.
Informations sur
- Nom original de la série I Love Lucy
- Créateur Jess Openheimer Madelyn Pugh Bob Carroll Jr
- Dates 1951-1957
- Genre Comédie
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale CBS
- Chaîne(s) de diffusion française Téva
- Nombre de saison(s) 6
- Nombre d'épisodes 179
- Durée 25 minutes
- Bande originale
Nathaniel Fisher meurt dans un accident de voiture fauché par un bus. Il laisse, livrés à eux-mêmes, ses trois enfants (Claire, David et Nate) et sa femme Ruth. Ce décès inattendu survient à la veille de Noël. La famille Fisher, comme de nombreuses familles, devait se retrouver pour fêter Noël. La mort brutale du père chamboule alors toute la vie de la famille qui doit réapprendre à se parler et à vivre ensemble. Il laisse également derrière lui son entreprise familiale de pompes funèbres : Fisher and sons. A présent nous allons suivre le quotidien de cette famille en se posant cette question : comment vivre en étant confronté quotidiennement à la mort ?
Informations sur
- Nom original de la série Six Feet Under
- Créateur Alan Ball
- Dates 2001-2005
- Genre Drame
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale HBO
- Chaîne(s) de diffusion française Canal+, France 2, France 4, Jimmy
- Nombre de saison(s) 5
- Nombre d'épisodes 63
- Durée 55 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
Huff, Dead Like Me, Les Soprano, Nurse Jackie, This Is Us, Parenthood, Here and Now...
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Critique
Six feet under est le chef d'œuvre télévisuel de ces dernières décennies. A ce titre, il est difficile d'entamer une critique sur cette série tant elle est superbe et tellement il y a de choses à dire. Alors c'est parti pour une liste de termes dithyrambiques et tous plus élogieux les uns que les autres.
Quand la mort nous parle de la vie
Six feet under est une série télévisée à part. Elle semble être un ovni parmi toutes les séries télévisées américaines présentes sur nos chaînes françaises. Elle porte un regard original sur le quotidien d’une famille de croque-morts. Le thème de la série se retrouve initialement dans son titre, Six pieds sous terre en français.
La mort est donc le thème principal dans la narration de la série. Elle aborde un sujet simple, commun, faisant partie de la vie et nous offre la possibilité de voir comment la mort est perçue dans nos sociétés. Louis-Vincent Thomas dans son livre La Mort dit :
"Notre société pourtant mortifère, rejette la mort".
La question du tabou de la mort est alors présente. Le réalisateur de la série, Alan Ball, corrobore tout à fait cette idée, et précise que :
"la mort est un sujet tabou et je me suis demandé qui étaient ces gens qui faisaient quotidiennement face à la mort".
Ainsi, dans Six feet under, la famille Fisher est confrontée quotidiennement à la mort. Chaque jour, de nouveaux cadavres accompagnés de la famille qu’ils ont laissée, entrent dans leur vie. La mort est représentée sous toutes ses formes, à travers les corps, à travers la maison qui est aussi le lieu de travail ou bien encore la voiture de Claire, une voiture funéraire. La mort est intégrée dans la vie de chaque personnage.
La série parle de la mort sans tabou. Il est possible de se demander si la mort ne deviendrait pas rassurante par le fait que les personnages la côtoient chaque jour. C’est ce que nous explique Alan Ball :
"ceux qui doivent lui faire face tous les jours doivent développer une bonne dose d’humour noir qui leur permet de supporter tout ça. Surtout, ils apprennent à mieux apprécier la vie car quand vous travaillez dans cette industrie, vous savez plus que n’importe qui que tout peut arriver."
On peut dire que la mort vécue au quotidien engendre une perception différente, quelque peu rassurante, désacralisée et qui a pour objectif d’ancrer la personne dans la vie. Six feet under nous parle en fait de la vie à travers la mort.
Encore plus fort, dans le show, la mort tient un rôle à part entière. On pourrait dire qu'elle a un pouvoir au coeur de la construction narrative de la série. Ce pouvoir, c'est celui de la communication. Chez les Fisher, la communication entre les membres de la famille n’est vraiment pas facile. Chacun se complaît dans ses propres problèmes, sans en parler aux autres. La mort joue alors un jeu très intéressant. En effet, c’est au travers des morts qui leur apparaissent que les membres de la famille se remettent en question et s’interrogent alors sur leur vie et sur leurs actes. En cela, le rôle du père décédé est très important. Il interfère assez régulièrement, et met chaque personne de la famille face à la réalité de sa vie. Cette relation avec la mort permet aux personnages de comprendre la vie et, de ce fait, la mort. Les morts aident les vivants à mieux vivre.
La mort, l'humour et tabous en tout genre
La série fait mouche quand elle parle d’un sujet aussi difficile que celui de la mort. Oui c’est tragique, oui c’est triste... mais comme on l'a vu plus haut, la mort fait partie de la vie et ça, Six feet under nous l’a bien fait comprendre.
Elle sait également l’aborder avec beaucoup plus de légèreté quand elle présente les morts en chaque début d’épisode. Elle nous sert des décès plus ou moins tragiques et certains sont franchement drôles. Les morts liées à des causes exogènes, morts dites prématurées ou retardatrices, souvent des morts accidentelles, font sourire.
Je pense notamment à un épisode de la saison 2 où un homme meurt pendu à sa machine de musculation suite à une masturbation avec suffocation dont l’issue n’est pas très heureuse. Ou encore l’homme qui reçoit malencontreusement sur la tête une boîte de conserve qu’un ouvrier a laissé tomber de son échafaudage. Pas de chance ! Là aussi la mort est liée au quotidien. Et ce sont ces morts qui nous font pénétrer cette fois dans le quotidien de la famille Fisher.
En étant diffusée sur une chaîne câblée telle que HBO, Six feet under a su également apporter un nouveau regard sur des thèmes considérés souvent comme tabous dans notre société : le sexe, l’homosexualité, la drogue, etc. La série ne fait pas de tri et traite tous ces sujets comme n’importe quel autre sujet de la vie quotidienne. Le tout est toujours fait avec beaucoup de justesse.
En résumé
Tu l’auras compris, Six feet under opère un coup de maître dans son approche létale du traitement de son sujet principal. Chaque épisode est une véritable pépite, traité de la manière la plus sincère possible. Le tout étant interprété magistralement par chacun des acteurs. Mention spéciale à Peter Krause (Parenthood, Dirty Sexy Money) qui a su me tirer quelques larmes à de nombreuses reprises.
Le but de Six feet under est de toucher les personnes en s’adressant directement à elles, en les confrontant à ce que nous offre la vie quotidiennement. C'est une série qui touche, qui émeut, qui révolte, qui fait réfléchir et qui aime à parler de ce qui dérange dans notre société actuelle. Le tabou, prégnant de nos jours, s’efface pour laisser place à ce besoin de communiquer, de vivre et surtout d’aimer la vie, malgré tous les mauvais côtés qui l’accompagnent.
Six feet under aura, je le pense sincèrement, marqué toute une génération qui vivait auprès de la famille Fisher une véritable histoire d’amour et de mort...
Allan Ball, le papa de l’excellent film American beauty, nous offre ici une perle télévisuelle à regarder encore et encore.
- Bande originale
Adrian Monk est un détective talentueux de la police de San Francisco detective. Suite à un drame personnel, Adrian est atteint de nombreuses phobies et de troubles obsessionnels compulsifs, des éléments à la fois perturbateurs et utiles dans son travail quotidien.
Informations sur
- Nom original de la série Monk
- Créateur Andy Breckman
- Dates 2002-2009
- Genre Policier
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale USA Network
- Chaîne(s) de diffusion française TF1, TMC
- Nombre de saison(s) 8
- Nombre d'épisodes 125
- Durée 42 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
Psych, Columbo, The Mentalist, Castle, Perception, Elementary, Lie to Me, Dr House, Sherlock...
Quinn Mallory, jeune étudiant et génie en physique, passe le plus clair de son temps dans son sous-sol où il invente un appareil permettant de glisser dans les dimensions parallèles. Fier de sa découverte, il convie à une démonstration sa meilleure amie Wade et son Professeur Maximilien Arturo. Le test ne se passe pas comme prévu, amenant Quinn et ses amis, ainsi que le chanteur Rembrant Brown qui passait dans le coin par hasard, à voyager d’univers en univers avec comme seul espoir de rentrer chez eux...
Informations sur
- Nom original de la série Sliders
- Créateur Tracy Tormé Robert K. Weiss
- Dates 1995-2000
- Genre Aventure Science fiction
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale Fox, Sci Fi Channel
- Chaîne(s) de diffusion française M6, Sci Fi, 13e rue
- Nombre de saison(s) 5
- Nombre d'épisodes 88
- Durée 42 minutes
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Si tu as aimé cette série, tu aimeras aussi
Code Quantum, Stargate SG-1, Farscape, Doctor Who, Journeyman...
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Critique
Sliders est une série qui a bercé les samedis après-midi de mon adolescence lorsque le temps était gris et que l’appel de la télévision se faisait plus oppressant que celui du ramassage de feuilles dans le jardin. Dernièrement, avant de me lancer à nouveau dans la série j’en avais de très bons souvenirs et malheureusement cette illusion s’est éteinte lorsque j’ai visionné le générique du dernier épisode. Je vais t'expliquer pourquoi...
Si on prend la série dans son ensemble mon avis est assez mitigé car il y a de bonnes choses voire de très bonnes choses, mais d’autres moins intéressantes voire complètement dépourvues d’intérêt.
Du positif...
Pour les points qualitatifs de la série, je commencerais naturellement par le point de départ du show et donc cette histoire totalement géniale. En effet, faire voyager des personnages de dimension en dimension dans le but de retrouver leur Terre promise est une bonne idée. Avec un scénario comme celui-ci, il est facile de se renouveler, d’aborder tout un tas de sujets et surtout de mettre en place une réelle réflexion sur notre société.
Dans ce sens, la série est plutôt convaincante. Les uchronies qui parsèment les saisons sont pour la plupart bien trouvées et font de Sliders une très bonne série de science-fiction.
Sur ce point là, quelques épisodes marquants :- - Un monde au féminin (saison 1 épisode 8), où le sexe faible n’est plus celui des femmes.
- - Un monde parfait (saison 1 épisode 10) où une loterie régit l’accroissement de la population mondiale.
- - Le monde des dinosaures (saison 2 épisode 7) où les glisseurs atterrissent dans un monde où les dinosaures sont encore en vie.
- - Un monde de répression (saison 4 épisode 11) où les glisseurs découvrent un monde où le nazisme a su trouver sa place.
... vers le négatif
A côté de ces stand alone episodes s’est mis en place un arc au sujet d’extra-terrestres venus coloniser toutes les dimensions, les Kromaggs. Cet arc aurait pu s’avérer très intéressant mais à partir de la saison 4 tout tourne autour de ces êtres qui n’étaient que peu présents tout au long des trois premières saisons. Au final, les épisodes deviennent un peu tous similaires et l’ennui prend place.
Et ce n’est pas l’arrivée de nouveaux membres au casting qui y change grand-chose. Certes Kari Wührer (Maggie Beckett) est une femme ravissante qu’il est très agréable de voir courir dans un short qui ferait pâlir de jalousie Lara Croft, mais ça ne fait pas tout. Les départs des trois acteurs principaux au cours des saisons 3 et 4, à savoir Jerry O'Connell (Quinn Mallory), Sabrina Lloyd (Wade Welles) et John Rhys-Davies (Professeur Arturo) ont été très dommageables pour la série. Ajoutons également que la direction du show a connu quelques désagréments étant donné que le créateur de la série Tracy Tormé a préféré quitter la production n’acceptant pas les orientations exigées par la Fox.
La série est annulée en 1997 et revient l’année suivante mais cette fois-ci sur la chaîne Sci-Fi. Des changements qui auront à mon goût achevé la qualité intrinsèque de Sliders.
Il y a tout de même quelques épisodes intéressants dans les saisons 4 et 5 mais rien de transcendant. Et le jeu d’acteur quasi-inexistant de Charlie O'Connell (Colin Mallory) et de Robert Floyd (Mallory) n’arrange rien aux choses. Le charisme de ce dernier se rapproche très certainement d’une huître à qui l’on vient de verser un giclée de citron dessus, et au final nous donne plus l’envie de lui mettre des claques que d’écouter ses sempiternelles blagues salaces qui ne font rire que lui. Difficile de prendre la relève de Jerry O’Connell qui, durant quatre saisons, avait bien en main l’équipe de glisseurs.
Et dans toute cette histoire, seul Cleavant Derricks (Rembrandt Brown) est resté à la barre du navire et a su instaurer un lien entre la série et les fans. Ces derniers n’auront décidément pas eu de chance avec Sliders car la série s’est arrêtée au bout de 5 saisons alors qu’une sixième aurait normalement dû voir le jour. Ceci laisse les fans dans l’expectative de savoir ce qu’il est advenu de Rembrandt. Il suffit à présent de faire fonctionner son imagination et d’espérer le meilleur pour notre ami le Charmeur.
Sliders a donc connu un grand nombre de tourments mais elle reste néanmoins, aux yeux des fans, une grande série de science-fiction. Pour ma part, elle est loin d’arriver à la cheville de chef-d’œuvres tels que Farscape ou Battlestar Galactica, mais elle mérite d’être connue et d’être vue pour les deux premières saisons ou au minimum pour quelques épisodes de qualités parsemées dans l’ensemble des saisons.
Je terminerais en rendant un petit hommage au comédien Ken Steadman qui a perdu la vie tragiquement lors du tournage de l’épisode Un monde d'eau pure (saison 3 épisode 6).
Pour aller plus loin, je te propose de découvrir l'excellente vidéo de MrMeeea sur Sliders. Vidéo nommée à juste titre : "Comment foirer une bonne série en dix leçons". Et si tu aimes cette chronique, n'hésite pas à regarder les autres vidéos de sa chaîne. En tant que fan des films des années 80-90 et de jeux vidéos comme Monkey Island, cette chaîne Youtube est devenue une de mes références. Voici sa chronique sur Sliders :
A lire dans la catégorie des séries qui feraient mieux de rester dans nos souvenirs : Manimal.
Jack Bauer est membre de la CTU (Counter Terrorism Unit), une agence luttant contre les attaques terroristes sur le territoire américain. La série relate en temps réel la journée de Jack et ses acolytes pour démasquer les terroristes.
Informations sur
- Nom original de la série 24
- Créateur Joel Surnow Robert Cochran
- Dates 2001-2014
- Genre Aventure
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale FOX
- Chaîne(s) de diffusion française Canal+, TF1
- Nombre de saison(s) 9
- Nombre d'épisodes 204
- Durée 43 minutes
Martin Odum est un agent du FBI assez particulier. Il a le talent de pouvoir changer d'identité, ce qui le conduit à se demander qui il est réellement...
Informations sur
- Nom original de la série Legends
- Créateur Mark Bomback Howard Gordon Jeffrey Nachmanoff
- Dates 2014-2015
- Genre Drame Policier
- Pays de production États Unis
- Chaîne(s) de diffusion originale TNT
- Chaîne(s) de diffusion française /
- Nombre de saison(s) 2
- Nombre d'épisodes 16
- Durée 42 minutes